Mercredi 30 août
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Des Origines du Shibari :
Bondage in .
Hojojutsu:
A l’origine l’art des liens était la forme la plus usitée d’enfermement des prisonniers au japon, utilisée
par les milices locales et les samouraïs. Le métal étant rare, il était réservé à la fabrication des sabres et lames. La corde grossière devint l’outil de capture des prisonniers, méthode de
contrainte et d’incarcération, ainsi que transport, et un moyen très usité de torture. Chaque crime était puni d’une manière différente, le coupable étant mis
dans la position de son forfait et exhibé en place publique…la femme adultère n’était pas traité comme le voleur. Chaque région et province avait donc son style, ainsi que chaque
clan.
Le secret de ces techniques transmises dans la lignée du savoir faisaient partie
de l’art du Samuraï… Le HOJOJUTSU est le nom de cet art martial qui est l’emprisonnement par la corde. Comme beaucoup de techniques confidentielles, un pan important du savoir a disparu avec la
mort des Maîtres et la disparition des Samouraïs.
Des hommes comme Arica Danki, ont donc consacré leur vie à retrouver ce
savoir ancestral et traditionnel marqué de l’histoire du japon.
L’art de la corde comme contrainte policière existe dans d’autres pays
comme Singapour…..et la police japonaise utilise toujours la corde, lorsque le besoin s’en fait sentir à l’heure actuelle. A l’origine l’art des liens était la forme la plus usitée
d’enfermement des prisonniers au japon, utilise par les milices locales et les samouraïs. Le métal étant rare, il était réservé à la fabrication des sabres et lame. La corde grossière devint
l’outil de capture des prisonniers, méthode de contrainte et d’incarcération, ainsi que transport, et un moyen très usité de torture.
Les 4 règles de bases sont:
Pas d’échappatoire
pour le prisonnier
Ne pas causer de
dommage physique ou mental au prisonnier
Ne pas laisser une
personne extérieure au clan avoir accès à ses techniques
Réaliser un shibari
artistique
Entre 1800 et 1900 est
apparu une nouvelle forme d’art des liens, bien plus orienté vers le coté sexuel et érotique. On est passé de cet art martial à l’érotisme, un peu
dans la même logique des menottes policières utilisées à des fins sexuelles. On pense que cet érotisme vient d’ailleurs, d’Inde, du tantrisme et du bouddhisme. Il n’existe aucun document
relatif à cette époque ni à cette nouvelle forme d’érotisme.
C’est à partir des années 1920 que sont apparus des recueils
de photo montrant des modèles féminins enserrés dans des liens au Japon. L'apparition de la photo et le résultat saisissant (ainsi que le fort impact érotique de ces images) explique la
résurgence du KIMBAKU au Japon. Dans les années 1970, désigné sous le nom d’âge d’or du shibari, il y avait profusion de ce type d’ouvrages. Ceci étant le Japon ayant subi après guerre la
présence d'Américains sur le sol national, il y a fort à parier que les techniques très "Betty Page" et le Kimbaku japonais se soient mutuellement influencés. D’où est partie
l’inspiration, difficile de le dire. Mais si les USA ont une longue tradition dans le fouet issue des cowboys, les Japonais possédaient une longue tradition de la corde venant des
Samouraïs. Il serait superficiel de dire que les techniques ancestrales se perpétuent. Beaucoup de liens se sont perdus de par la tradition orale, mais il n’en reste pas moins vrai que le Japon
est beaucoup plus ouvert sur l’art des liens que d’autres pays.
Originally kinbaku-bi started out as a
form of incarceration in in the 1400-1700's. At that time, the local police and samurai used it as a form of imprisonment. There were no jails in , very little metal resources. But they had lots
of hemp and jute rope. So rope was what they had to use to keep prisoner immobile. This came out or created part of the martial art called hojojustu and some other martial arts. Even today,
police in carry a bundle of hemp rope in the trucks of police cars incase they need it. Some other countries like still actively use rope for incarceration and transport of
prisoners.
4 laws of Samurai
Hojojutsu:
1. Do not let the prisoner escape his bonds
2. Do not cause any physical or mental damage to the prisoner.
3. Do not allow anyone outside the clan see your clans techniques.
4. To be Artistic about the design.
In the late 1800's
and early 1900's a new form of erotic Hojojustu evolved. This was called Kinbaku-bi, which means "The Art of Erotic Bondage". I do not think there is any real documentation that states how this
happen. But it did. I personally believe it's like how police tend to be kinky now, and use their handcuffs for sex, why wouldn't a cop back then do that same. ==B). I also have a personal belief
that there has been some Hindu (Indian) yoga/karma sutra influenced that came over when the Hindi brought Buddhism into through china and spawned Japanese Buddhism and Shintoism, but I have no
proof of this at all! They both happened around the same time and have similar techniques, but it's a nice little theory of mine
There have been photograph books that showed kinbaku-bi photography since the 1920's in .
Which I think is amazing, and I wish I could get my hands on some. This helped fuel the fire of kinbaku in , where is an excepted part of life for many. In the 1970's there was a huge growth of
these types of books in , which is referred to as the "golden age" of rope bondage photography in . I have heard this was influenced from the bondage magazines that come out in the 1970's in the
.