Par Amitié pour M…..  

Simplement lui dire que je l’M  

Puisqu’elle me fait l’honneur de me citer….. 

Par Amitié pour M….. 

Simplement lui dire que je l’M 

Puisqu’elle me fait l’honneur de me citer….. 

Si Chère a mon Cœur…….ma douce M   

Ce texte……. 

Une amie me raconte :  

Le sm c’est un peu comme un sport de frisson….une décharge d’adrénaline….un sport de compétition….la peur…..peur au ventre…..ne pas savoir….jamais……. Le sm c’est comme la bourse, quand on trade…..le flash….on met tout dans la balance…on gagne tout , on perd tout mais au moins…on vit…on vibre….. Un coup de poker….quelque part…..  Plus qu’un simple jeu…..on parlera d’enjeu….comme s’il fallait que l’on risque sa vie…que l’on fasse tapis à chaque fois…ou presque….pour exister…..  

Et lorsque je domine c’est encore pire…..surtout ne pas savoir…. J’avais un jour réalisé ce scénario de dingue…..je n’ai jamais revu cet homme, mais peu importe le but n’était pas celui-là….. 

Il recherchait le frisson, la peur au ventre, ce que je recherche moi….   

Je lui ai donné rendez-vous à mon hôtel, une lettre d’instruction sur le lit…..moi dans la salle de bains…..bien sûr il ne m’avait jamais vue auparavant….lorsque je suis rentrée dans la chambre il portait collier….bracelet de cuir aux chevilles et aux poignets…collier et bandeau sur les yeux….il était à quatre pattes sur le lit…offert……je lui ai doucement caressé la croupe…..en parlant doucement….longtemps……puis je l’ai fait se retourner…..sa peau frissonnait…doucement…rapport charnel presque tendre….très doux……. Il se coucha sur le dos, et sans rien savoir de moi se laissa attacher….en croix sur le lit…..il me supplia de voir……de voir mon visage……   

Je lui dis que dans un instant il allait être exaucé……  

Je l’ai bâillonné aussi…..

Puis j’ai sorti une lame……un superbe poignard gothique , orné de pierres rouges….au manche en argent ciselé….et j’ai commencé à érafler tout doucement sa peau ……puis j’ai exaucé son vœu…..j’ai ôté son bandeau …et il a pu voir une femme cruelle…assise à califourchon sur lui qui jouait avec son corps et un poignard et qui lui a dit…d’une voix bien forte «  cela peu être très dangereux de faire confiance à une inconnue…… » Il était livide et je voyais de délicieuses gouttes de sueurs perler sur son front…..   

A aucun moment je n’ai dépassé les limites fixées…..sur le fond….les actes accomplis avait été très simples….presque inexistants….mais la pression morale que je lui avais imposé avait été extrême…..   

C’était ce qu’il cherchait….je ne l’ai jamais revu…ainsi en avions-nous convenu au préalable……C’était ce qu’il cherchait….je ne l’ai jamais revu…ainsi en avions-nous convenu au préalable……

Ainsi soit JE, Ainsi soit ELLE.....

Jouer en bourse, aujourd’hui c’est un peu ça…jouer avec le feu….gagner ou perdre…se brûler les ailes…….et exister  

Metteur en scene , Kinji Fukasaku est né le 3 juillet 1930 à Mito, dans la préfecture d'Ibaraki au Japon.  

Il est très tôt confronté à la violence en travaillant durant la Seconde Guerre mondiale dans une fabrique d'armes. Après ses études universitaires, il commence sa carrière en 1953 dans l'important studio japonais Toei comme assistant réalisateur. Il passe à la réalisation en 1961 avec la série du Detective Vagabond.  

Il repopularise le genre traditionnel, le "Yakusa-eiga". Ses principaux films de cette époque sont Gangsters en plein jour, Hommes, porcs et loups et Le Caïd de Yokohama. Il réalise les scènes de combat aérien du film américain Tora! Tora! Tora!   Ses thèmes de prédilection sont l'après guerre et la transformation de de la société japonaise. Dans les années 1970, il transforme l'image classique du yakuza guidé par l'honneur en celle du gangster mené par l'appart du gain avec des films très violents comme Le Cimetiere de la morale ou Combat sans code d'honneur en 1973. Ce dernier est un succès critique et commercial qui donnera lieu à quatre suites.

 Il s'oriente avec ses films suivants vers le film de samuraïs et la science-fiction.  

En 2000, il réalise une satire violente de la société japonaise avec Battle Royale. Il commence le tournage de la suite Battle Royale 2 mais doit abandonner à la suite d'un cancer. Son fils, Kenta Fukasaku, prend le relais et finit le film en hommage. Fukasaku meurt à Tōkyō le 12 janvier 2003 d'un cancer de la prostate sans voir terminé le film.  

Un tres beau film tourné en 1966 OMOSHA ( la maison des geisha) retrace la vie d’une ravissante maiko. Un fil poignant de beauté , plus proche de la réalité de la vie dans l’Okya que le tres controversé « mémoire d’une geisha »